Un coin de ciel après la grisaille
Un rêve perdu pendant la seconde guerre, qu’il rend aux femmes au lendemain de
l’occupation. Fini la grisaille il décide de les mettre en lumière en leur créant des robes qui
suscitent à nouveau le désir, le goût de plaire.
« Nous sortions à peine d’une époque démunie, parcimonieuse, obsédée par les tickets et les
points-textile. Mon rêve prenait donc naturellement la forme d’une réaction contre cette
pauvreté ».